5. При встрече с иностранцем я смогу:
а) представиться ("Меня зовут…Я из России")
б) представиться и понять его
в) поддержать беседу
Методика "Направленность на приобретение знаний" Е. П. Ильин, Н. А. Курдюкова
Инструкция
Дается ряд утверждений-вопросов с парными ответами. Из двух ответов нужно выбрать один и рядом с позицией вопроса написать букву (а или б), соответствующую выбранному ответу.
Текст опросника
1. Получив плохую отметку, ты, придя домой:
а) сразу садишься за уроки, повторяя и то, что плохо ответил; б) садишься смотреть телевизор или играть на компьютере, думая, что урок по этому предмету будет еще через день.
2. После получения хорошей отметки ты:
а) продолжаешь добросовестно готовиться к следующему уроку; б) не готовишься тщательно, так как знаешь, что все равно не спросят.
3. Бывает ли, что ты остаешься недоволен ответом, а не отметкой:
а) да; б) нет.
4. Что для тебя учеба:
а) познание нового; б) обременительное занятие.
5. Зависят ли твои отметки от тщательности подготовки к уроку:
а) да; б) нет.
6. Анализируешь ли ты после получения низкой отметки, что ты сделал неправильно:
а) да; б) нет.
7. Зависит ли твое желание готовить домашнее задание от того, выставляют ли за него отметки:
а) да; б) нет.
8. Легко ли ты втягиваешься в учебу после каникул:
а) да; б) нет.
9. Жалеешь ли ты, что не бывает уроков из-за болезни учителя:
а) да; б) нет.
10. Когда ты, перейдя в следующий класс, получаешь новые учебники, тебя интересует, о чем в них идет речь:
а) да; б) нет.
11. Что, по-твоему, лучше — учиться или болеть:
а) учиться; б) болеть.
12. Что для тебя важнее — отметки или знания:
а) отметки; б) знания.
Обработка результатов
За каждый ответ в соответствии с ключом начисляется 1 балл.
Ключ к опроснику
О мотивации на приобретение знаний свидетельствуют ответы "а" на вопросы 1 -6, 8-11 и ответы "б" на вопросы 7 и 12.
Выводы
Сумма баллов (от 0 до 12) свидетельствует о степени выраженности мотивации на приобретение знаний.
Приложение №2
Монологическое высказывание на основе прочитанного текста
C’est arrivé un lundi soir. On a compris qu’il se passait quelque chose de grave parce qu’en arrivant, papa a sorti un paquet de cigarettes de sa poche et en a allumé une. Il faut dire qu’il avait arrêté de fumer depuis deux ans et avait promis de ne plus jamais recommencer.
En fronçant les sourcils, maman l’a regardé s’écrouler dans le fauteuil du salon, passer sa main dans ses cheveux pour faire sa tête de hérisson pas content. Elle nous a fait manger en cinq minutes et nous a expédiés, mon petit frère Bip et moi, dans notre chambre. De l’autre côté du mur, on entendait papa murmurer d’une voix grave. Il у avait un mot qui revenait tout le temps comme un moustique qu’on n’arrive pas à chasser : chômage. Je savais que ça voulait dire : " plus de travail ", mais je ne comprenais pas pourquoi cela rendait papa si triste. " Plus de travail " à mon avis, ça a aussi un petit côté " tous les jours, dimanche " et " vacances sans fin " pas du tout désagréable.
Les jours suivants, j’ai mieux compris. Pour maman, Bip et moi, rien n’avait changé. Chaque matin, Bip et moi, on allait à l’école et maman partait à son travail (elle est infirmière et les infirmières ne sont jamais au chômage parce qu’il у a toujours des malades).
Mais le soir, en rentrant, ça nous faisait tout drôle de trouver papa, tassé au fond de son fauteuil comme un vieux Kleenex froissé, les yeux vides braqués sur l’écran bleu de la télé. Bien sûr, il nous souriait, nous embrassait, nous demandait si nous avions passé une bonne journée. La vaisselle était faite, et le dîner aussi. Seulement, le cœur n’y était pas, il touchait à peine au dîner, deux ou trois bouchées et hop! une autre cigarette. Il у avait une gêne qui s’était installée dans la maison, à peine visible, mais aussi tenace que la fumée des cigarettes. Et puis le soir, parfois, et de plus en plus à l’approche de Noël, couchés dans nos lits, Bip et moi, on entendait papa et maman se disputer, pas fort, mais quand même, un peu, alors qu’avant ça n’arrivait jamais. Bip venait se blottir contre moi et il fallait que je lui raconte des histoires pour l’endormir, des histoires avec plein de sorcières " chômage " qui n’arrêtaient pas de casser les pieds aux gens. Vers le 20 décembre, maman a dû expliquer à Bip que sa lettre au père Noël était un peu trop longue. Bip l’а écouté très sérieusement en concluant du haut de ses cinq ans : " Je comprends, c’est parce que le père Noël est au chômage lui aussi. "
Même si le sapin était un peu moins grand que les années précédentes, le repas un peu plus maigre et les cadeaux moins nombreux, les fêtes se sont quand même bien passées parce que, chômage ou pas, on s’aime tous très fort. C’est après que ça s’est gâté. L’après Noël, ça n’est jamais très rose mais là, c’était carrément gris. Il у avait tout le temps comme de l’électricité dans l’air. Pour une fourchette déplacée, un cadre de travers, une différence de choix sur un programme de télévision, papa faisait la tête et maman s’enfermait dans la chambre. Évidemment, Bip faisait encore plus de bêtises que d’habitude et moi, je me donnais un mal de chien pour les effacer. Le pire, с’était à table quand nous étions réunis tous les quatre : silence total et pesant au-dessus de l’éternel plat de nouilles qui refroidissait lamentablement devant nos yeux baissés. Ensuite, c’était toujours la même histoire : Bip et moi, nous allions nous enfermer dans notre chambre en rêvant à des pays où les gens vivent heureux, sous un ciel toujours bleu, des gens qui ne savent même pas ce qu’est le chômage.
Pendant ce temps, papa écrivait des piles de lettres en fumant des dizaines de cigarettes et maman alignait, en se rongeant les ongles, d’interminables colonnes de chiffres. II était question de colonies de vacances pour Bip et moi, l’été prochain, et l’argent de poche se faisait aussi rare que les éclats de rire dans la maison. Non, le chômage n’avait rien à voir avec des vacances sans fin !
Chaque jour, papa prenait dix ans de plus. Il ne voyait plus ses amis et même quand il faisait beau, il avait l’air de regarder la pluie. II pleuvait tout le temps dans sa tête. Il se levait de plus en plus tard et se couchait de plus en plus tôt, et il devait aussi dormir dans la journée, car le soir, en rentrant de l’école, il nous regardait avec les mêmes yeux mouillés que Youki, le chien de Mamie qui est aussi vieux qu’elle.
Comme ça, tous les jours, comme un même et interminable jour gris...
Mais hier, il уavait une lettre dans la boîte, une lettre pour papa qu’il a lue et relue cent fois. Il avait l’air de quelqu’un qu’on réveille d’un long, long sommeil. Il a montré la lettre à maman d’une main tremblante. Maman l’а lue et a sauté au cou de papa en l’embrassant tout partout. On n’a pas eu de nouilles ce soir-là, mais un gros poulet bien doré, avec des frites. Papa ne tenait plus en place, il se levait, se rasseyait pour un rien, riait, redevenait sérieux, puis riait encore comme dans les anniversaires. Maman lui a repassé sa plus belle chemise et son plus beau costume, tandis qu’il cirait ses chaussures jusqu’à les rendre plus brillantes que l’argenterie de tante Clara. Ce matin, tout reluisant, il est parti en même temps que nous. Il était nerveux, comme Bip pour son premier jour d’école. Il a allumé une cigarette, nous a regardés en souriant et l’а aussitôt écrasée dans le cendrier. Je crois qu’il n’y aura plus jamais d’odeur de tabac dans la maison.
VOCABULAIRE
fronсer les sourcils — хмуритьброви
tassé — здесь : развалившись
un vieux Kleenex froissé — использованный носовой платок
les yeux braqués — уставивглаза…
une gêne — неловкость
se blottir— прижиматься
casser les pieds — надоедатькому-либо
faire la tête — дуться
lamentablement — жалко
Répondez aux questions :
1. Qui est le narrateur de l’histoire ?
2. Selon toi, quel âge a le narrateur ?
3. À quel moment commence l’histoire ?
4. Est-ce que le narrateur comprend dès le début ce qui s’est passé ?
5. Montre les étapes de l’aggravation de la situation familiale.
6. Comment les membres de famille réagissent-ils face au problème ? Comment cette réaction les caractérise-t-elle ?
7. Et papa ? Comment évolue son état moral et sa conduite ?
8. Comment sa conduite caractérise-t-elle papa ?
9. Comment évolue l’ambiance familiale ?
10. Quel événement modifie la situation ?
11. Quelle est la réaction des membre de la famille à cet heureux événement ?
12. Pour toi c’est un récit sur :
o une famille unie qui passe par une période difficile
o les conséquences graves du chômage sur la vie familiale
o un garçon qui se heurte à un grand problème vital
Приложение № 3
Приложение № 4
Приложение № 5
Приложение № 6
Приложение №7
Приложение №8
Приложение №9
Приложение № 10
Приложение №11
Quellesqualitiésfaut-ilavoirpour être:
1.Architecte
2.Metteur en scѐne
3.Pilote d’avion
4.Chirurgien
5.Professeur
6.Chef de publicité
7.Informaticien/ne
8.Secrétaire
9.Editeur/éditrice
10. Hôtesse de l’air
Le sens de la responsabilité. De la précision/ de l’ordre. Le sens de l’organisation. De l’énergie. De la tolérance. Du courage. Le sens des relations humaines. De l’imagination. De l’autorité. Le sens critique. La connaissance de langues étrangères/ de l’informatique. Etc.
Приложение № 12
Coco Chanel
La grande couturiѐre
Confectionner les chapeaux
Ouvrir la 1ѐre maison de couture
Concevoir des vêtements à l’élégance sport et discrѐte pour la femme moderne et indépendante
Créer en 1920 le parfum "#5"
Sa "petite robe noire" devenir basique d’une garde-robe intelligente (En 1926)
Gianni Versace
Grand couturier italien
(En 1975) présenter sa premiѐre collection de prêt-à-porter pour femme et pour les hommes
Aimer les robes de soirée à l’image do son modѐle exclusif noir et blanc orné de strass
Employer volontiers le cuir de couleur et la soie
Créer des costumes de ballet
Yves Saint Laurent
Débuter en 1954 chez Christian Dior
(En 1958) inventer la ligne Trapѐze pour des robes à bretelles et des manteaux
(En 1960) choquer le public avec le smoking pour femmes
Bouleverser la mode parisienne en puisant dans le style de la rue pour nourrir les tendances modernes de la haute couture
Travailler pour le cinéma, l’opéra et pour le théâtre
Christian Dior
Connaitre un succѐs mondial à partir de 1947 avec son new-look luxueux- robes de soirée opulentes et trѐs feminines
Son credo vestimentaire associer perfection de la coupe, rigueur de la ligne et plaisir esthétique
Dior Parfums connaitre son premier succѐs avec "Miss Dior"
(En 1949) Fonder Christian Dior Inc., une société de prêt-à-porter de grande qualité
Приложение № 13
Приложение №14
Michel Laporte
L’Autre
Je l’ai vu pour la première fois le jour de mon anniversaire. J’avais invité tous mes copains. Lui, personne ne l’avait invité, et pourtant, il était là. Il n’arrêtait pas de piocher dans les canapés et il me regardait avec l’air de se moquer de moi. Je l’ai tout de suite détesté. Les copains ne semblaient pas le voir.
Le soir, quand je suis monté me coucher, je l’ai trouvé assis sur mon bureau. Il tripotait ma montre :
– Ta montre, elle est nulle !
Et il a ricané.
C’est la montre que ma grand’mère m’a offerte. Il faut la remonter tous les soirs, comme on faisait avant. J’ai fait comme si je n’entendais pas, il a continué de rire.
Le lendemain, j’ai commencé à regarder les montres. Des montres, il y en avait partout : à la vitrine de l’horloger, chez le photographe, au tabac du coin, et même au supermarché. Chaque fois que je faisais un pas dans la rue, je tombais sur des étalages de montres.